Fehér & Fehérin
Jeu 23 Jan 2020 - 23:26
Le titre de Fehér pour les hommes et de Fehérin pour les femmes est un vieux titre de noblesse livadien que Nikolai Ier a donné à tout son peuple lorsqu’il l’a collectivement anobli. Il veut dire en quelque sorte « homme libre » ou « homme digne » en vieux zaxon et correspond au dernier titre dans la hiérarchie nobiliaire.
Arrêté du 13 octobre 1915 portant anoblissement du peuple livadien
Nikolaï Ier a anobli son peuple pour consacrer le "miracle" livadien ainsi que l'écrit l'universitaire zollernois Fichte en 2015 :
"Un gros bourg d’Orient, resté en dehors de l’Histoire, parvient contre le chaos russlave et en dépit des armées édoranaises, à s’imposer à Svetivostok et à tout l’Orient. Sous la conduite d’un maître exigeant et inspiré, Livadia écrase le merksisme par la force de ses fils, bat pavillon sur toutes les mers du Nord, et recouvre la Vraie Foi dans une terre jusque-là hermétique. L’Histoire de cette thalassocratie contraste singulièrement avec les habitudes de la terre russlave. Aussi, le lecteur comprendra aisément la fierté des sujets du Roi d’Orient pour celle à qui ils vouent un culte et qu’ils appellent simplement la Ville : Livadia.»
Vivante illustration de l'orgueil livadien et de leur vif sentiment de supériorité pendant tout le siècle passé, cet arrêté d'anoblissement est toujours valide aujourd'hui, même si sa symbolique première est largement désuète.
Le Conseil de Livadia tient toujours scrupuleusement les registres des Fehér et Fehérin du pays et il est toujours porté fièrement par les Livadiens patriotes.
Sont Fehér et Fehérin les individus suivants :
D'office, l'évêque de Livadia, les soldats admis dans le LIV Régiment ou Gardes Livadiennes sont faits Fehér. Le Haut Roi peut démettre un Fehér de son titre, et élever à cette dignité un Livadien ou une Livadienne né étranger.
Usant de cette symbolique, le dictateur Kaljulaid s'est intitulé du titre de "Premier Fehér".
Arrêté du 13 octobre 1915 portant anoblissement du peuple livadien
Nikolaï Ier a anobli son peuple pour consacrer le "miracle" livadien ainsi que l'écrit l'universitaire zollernois Fichte en 2015 :
"Un gros bourg d’Orient, resté en dehors de l’Histoire, parvient contre le chaos russlave et en dépit des armées édoranaises, à s’imposer à Svetivostok et à tout l’Orient. Sous la conduite d’un maître exigeant et inspiré, Livadia écrase le merksisme par la force de ses fils, bat pavillon sur toutes les mers du Nord, et recouvre la Vraie Foi dans une terre jusque-là hermétique. L’Histoire de cette thalassocratie contraste singulièrement avec les habitudes de la terre russlave. Aussi, le lecteur comprendra aisément la fierté des sujets du Roi d’Orient pour celle à qui ils vouent un culte et qu’ils appellent simplement la Ville : Livadia.»
Vivante illustration de l'orgueil livadien et de leur vif sentiment de supériorité pendant tout le siècle passé, cet arrêté d'anoblissement est toujours valide aujourd'hui, même si sa symbolique première est largement désuète.
Le Conseil de Livadia tient toujours scrupuleusement les registres des Fehér et Fehérin du pays et il est toujours porté fièrement par les Livadiens patriotes.
Sont Fehér et Fehérin les individus suivants :
- les membres masculins de la famille royale,
- la totalité des hommes nés livadiens, ayant atteint leur trentième année, mariés, et pères de familles,
- les membres féminins de la famille royale,
- les femmes nobles ayant atteint leur trentième année,
- les veuves nées livadiennes, ayant atteint leur trentième année, mères de famille, et devenues par la force des choses chef de famille.
D'office, l'évêque de Livadia, les soldats admis dans le LIV Régiment ou Gardes Livadiennes sont faits Fehér. Le Haut Roi peut démettre un Fehér de son titre, et élever à cette dignité un Livadien ou une Livadienne né étranger.
Usant de cette symbolique, le dictateur Kaljulaid s'est intitulé du titre de "Premier Fehér".
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